
Je croyais me reposer en m’intéressant à la nature, en délaissant mes personnages et ce qu’ils éveillent en moi, ce sentiment de douleur constante, mais feutrée par des couches d’oubli et de distraction. Non, la nature ne me repose pas bien que je jouisse de sa beauté. Elle interpelle la fragilité de ma condition.
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